Publications
Réciprocités sociales. Lectures de Simmel
September 30, 2012 Edition: PUMCollection: Sociologie et sociétés
Intersectionality und Kritik. Neue Perspektiven für alte Fragen.
September 25, 2012
Vera Kallenberg
, Meyer, Jennifer; Müller, Johanna M.
ISBN: 978-3-531-17726-7
Die bisherigen Debatten um Intersectionality haben gezeigt, dass sich eine kontextunabhängige Definition von Intersektionalität nicht angeben lässt. Darüber hinaus bezeugt das ungebrochene Interesse an dieser Debatte, dass es eines kritischen Reflexionsinstrumentes von Ungleichheit und Differenz in Wissenschaft und Politik bedarf. Was also ist das Verhältnis von Intersektionalität und Kritik respektive kann Intersektionalität kritisch sein?
Dieser Band behandelt die Frage in dreierlei Hinsicht: Erstens wird Intersectionality im Spannungsfeld von wissenschaftlichen und politischen Praktiken analysiert. Zweitens wird Intersectionality als Methodenreflexion, das heißt als Kritik an herkömmlichen Methoden der jeweiligen Disziplinen, präsentiert. Drittens werden Ansätze diskutiert, die Intersectionality als kritisches Instrument für die Reflexion von Geschichte und Gesellschaft fruchtbar machen.
Die zwei Leben des Anton Saefkows: kommunistischer Widerstandskämpfer und sozialistischer Held (1903-1944) Biographische Skizzen und Frage der Erinnerung
August 31, 2012Anton Saefkow ist eine wichtige Figur des kommunistischen Widerstands gegen den Nationalsozialismus in Deutschland. Im April 1933 wurde der erfahrene Kämpfer der Kommunistischer Partei Deutschlands (KPD) verhaftet. So begann eine Landreise durch abwechselnde Phasen mit Widerstand und Einsperrungen bis seiner Hinrichtung durch die Nazis 1944. Dieser Leidensweg wird in Ostdeutschland ab 1949 verwendet, um das Portrait eines vorbildlichen Sozialisten darzustellen. Anton Saefkows Leben schafft durch eine geschickte Propaganda, die in der DDR in allen Bereichen des Lebens herrschte, eine heroische Erinnerung an den Dienst der politischen Macht in der DDR.
Trajectoires des modèles nationaux
June 30, 2012
Olivier Lipari Giraud
, Dupré, Michèle / Lallement, Michel
Collection: Travail & Société - Work & Society - Band 71
ISBN: 978-90-5201-863-8 br.
Tout militait jusqu'il y a peu en faveur de la disparition des États-Nations. La globalisation n'a-t-elle pas rendu les frontières bien illusoires ? Que peuvent donc faire les gouvernements face à des acteurs économiques et des marchés financiers qui se gaussent des règles et des réalités nationales ? Sur un versant plus positif, l'Europe a nourri l'espoir d'un espace commun qui transcende les intérêts des nations. Les crises de 2008 et de 2011 ont ruiné cette espérance et redonné droit, en dépit de négociations précipitées, aux égoïsmes nationaux et aux rapports de force. Et si, par-delà les récentes péripéties d'un capitalisme en crise, les modèles nationaux n'avaient jamais cessé de suivre des sentiers de développement qui leur sont propres ?
Ce livre explore cette hypothèse iconoclaste, qui vient de trouver ces dernières années une actualité inattendue. Il s'instruit pour cela d'une comparaison systématique des nouvelles réalités qui caractérisent l'Allemagne et la France, ce vieux couple en perpétuelle recomposition. Il met plus exactement l'accent sur les transformations à l'oeuvre sur moyen terme dans le champ du travail, de l'emploi, des relations professionnelles et de l'action publique. Il apparaît à l'évidence que, si elles peuvent expliquer certaines options d'aujourd'hui, les oppositions anciennes ont désormais fait long feu. En dépit d'injonctions et de tendances qui leur sont communes (la flexibilité, la décentralisation, la financiarisation, etc.), l'Allemagne et la France se sont transformées selon des rythmes et des modalités qui continuent de différencier ces deux pays.
L'examen est mené par des contributeurs issus d'horizons variés. Ils sont allemands, français, anglais et américains mais aussi économistes, historiens, politistes et sociologues. À partir de terrains et de perspectives dont ils sont spécialistes, tous proposent de réviser sans complaisance l'intérêt de la notion de modèle national. À condition d'être utilisée dans une perspective dynamique, celle-ci s'avère utile pour appréhender les transformations de nos temps présents et pour nous aider, également, à repenser celles d'hier.
Inhalt
Contenu :
Michèle Dupré/Olivier Giraud/Michel Lallement : Introduction. Les modèles nationaux en débat. Des perspectives analytiques aux enjeux de démocratie - Frédéric Rey : Qu'est-ce qu'un modèle ? Définitions, usages et enjeux - Antoine Bevort : La tradition sociologique et le modèle social français - Michèle Dupré : Contribution et réactions de la sociologie industrielle allemande à l'institutionnalisation de la Mitbestimmung im Unternehmen - Gilles Pollet : Sociogenèse de l'État social français. La société civile contre - ou tout contre - l'État ? - Hartmut Kaelble : Les relations entre sociétés française et allemande depuis 1945 - Catherine Marry : Les comparaisons France/Allemagne au prisme du genre. Pour une critique des modèles nationaux - Sabine Rudischhauser : Les conventions collectives, regards croisés sur la fondation des modèles sociaux - Michèle Dupré/Olivier Giraud/Michèle Tallard/Catherine Vincent : Dynamique d'institutionnalisation des rapports de pouvoir dans l'entreprise en France et en Allemagne (1945-1982) - Ingrid Artus : À l'ombre des institutions. Les entreprises sans organe de représentation du personnel en France et Allemagne - Michel Lallement : Temps et nouvelles frontières du travail en Allemagne et en France. Entre évolutions transverses et idiosyncrasies nationales - Rudi Schmidt : Le modèle allemand des relations professionnelles et ses crises d'adaptation - Eckhard Heidling/Annette Jobert : Dissolution dans les territoires ou réinvention par les territoires des modèles français et allemand de dialogue social ? - Olivier Giraud/Arnaud Lechevalier : L'évolution des modèles allemand et français d'emploi depuis quinze ans. Des segmentations différenciées - David Marsden : Modèles nationaux et transformation des formes des relations de travail - Jonah D. Levy : Conclusion.
Autorenangaben
Michèle Dupré est chargée de recherche au Centre Max Weber (Univ. Lyon 2, CNRS). Ses travaux portent sur l'analyse comparée des formes d'organisation du travail et des transformations des tissus industriels et des territoires.
Olivier Giraud est chargé de recherche au Lise (CNAM, CNRS) à Paris. Il est spécialiste d'analyse comparée des politiques de la formation, de l'emploi et du care en Europe.
Michel Lallement est professeur de sociologie au Conservatoire national des arts et métiers (Paris) et membre du Lise-CNRS. Ses travaux portent notamment sur l'analyse comparée des formes d'organisation du travail et des marchés du travail.
Politische Kommunikation: Von der klassischen Rhetorik zur Mediendemokratie. Communication politique: De la rhétorique classique à la démocratie des médias
June 30, 2012
Daniel Schönpflug
, Felix Heidenreich
Collection: Kultur und Technik. Schriftenreihe des Internationalen Zentrums für Kultur- und Technikforschung der Universität Stuttgart
ISBN: 978-3-643-11742-7
Mit einem Beitrag von Kolja Lindner.
Sociétés et mentalités
May 18, 2012 Edition: HermannISBN: 2705683119
Célébré comme l'un des plus grands historiens du vingtième siècle, Marc Bloch n'a guère été lu par les philosophes. Son œuvre est pourtant porteuse d'une vision inédite de l'histoire, aujourd'hui encore éclairante pour la philosophie comme pour les sciences humaines. Dans le sillage de la sociologie durkheimienne, Bloch fonde la science historique sur l'observation directe et la comparaison, plutôt que sur l'interprétation d'un passé inaccessible. Le principe de synthèse de la connaissance historique est chez lui proprement social, et non psychologique ou géographique, comme chez l'autre fondateur des Annales, Lucien Febvre. Mais si, des Rois thaumaturges à La Société Féodale, Bloch assume l'ambition proprement explicative des sciences sociales, il reconnaît que la matière historique ne se laisse pas complètement ordonner. L'histoire blochienne s'attache à ce qui résiste à la compréhension synthétique du passé, aux décalages temporels et idéologiques qui révèlent les limites de toute structuration symbolique. Elle déjoue par là l'opposition stérile entre structures et historicité. Elle peut ainsi concevoir le rôle politique de l'historien comme l'introduction d'écarts au sein des récits mémoriels, qui permettent d'en subvertir le sens.
Parallele Gesellschaften und soziale Räume - Osteuropäische Einwanderer in Paris 1880-1940
May 13, 2012 Edition: Campus Historische Studien, Bd.63ISBN: EAN 9783593396347
Vom Ende des 19. Jahrhunderts bis in die 1920er-Jahre war Paris das Ziel zahlreicher Einwanderer aus Osteuropa, von jüdischen Pogrom- und Armutsflüchtlingen bis zu russischen, teils bürgerlichen und aristokratischen Revolutionsflüchtlingen. Michael Esch zeichnet ein dichtes Bild ihrer Lebenswelten. Dabei zeigt er, wie sie ihre "Integration" je nach Milieu sehr unterschiedlich gestalteten, wie sie ihre Differenz und ihre Anwesenheit legitimierten und wie ihr Verhältnis zur Mehrheitsgesellschaft war. Er gewährt damit Einblicke in den Prozess des Einheimisch-Werdens, die auch für heutige Debatten aufschlussreich sind.
Kunst und Empfindung
April 30, 2012
Elisabeth Décultot
, Gerhard Lauer
ISBN: 978-3-8253-5890-7
Redefining the Sacred - Religion in the French and Russian Revolutions
April 30, 2012
Daniel Schönpflug
, Martin Schulze Wessel
ISBN: 978-3-631-57218-4
The revolutions of 1789 and 1917 were defining moments for religious history in France, Russia, and even in Europe as a whole. Drawing on the self-portrayals of some of the most radical actors, historians have presented revolutionaries as enemies of the church, and men of the church either as counter-revolutionaries or as victims of revolution. Revolution and religion have appeared as antagonistic forces, representing the struggle of modernity against tradition. Only recently have these conventional patterns of interpretation been questioned. Historians explore the religious origins of revolutions, look at clergymen and churches as revolutionary actors and analyze how revolutionary movements appropriate religious patterns of thought and behaviour. In the French and in the Russian context, revolutions are seen as moments in which the sacred was redefined.